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Le soin des chevaux par les plantes
12 avril 2013

Pour une infusion :Il faut 30g de la plante

Pour une infusion :
Il faut 30g de la plante séchée, ou 80g de la plante fraîche dans 1 demi litre d'eau. Le mieux est de verser 50mL d'eau bouillante dans une théière avec filtre. Laissez infuser 10mn environ, et verser la tisane encore chaude un sceau avec un peu de céréales (granulé, avoine, orge,..).
Recommencez le traitement 3 fois par jour !

==> Commentaire : L'infusion d'orange (mettez des peau d'orange et laissez infuser) marche super bien sur mon cheval, cela le fait somnolé, je lui donne a chaque fois que le maréchal vient, pour éviter qu'il l'enquiquine en lui volant ses affaire, tirant son T-Shirt,.. Donc là, il dort et Damien peut bosser tranquille.. ^^

Principales propriétés des

huiles essentielles

Exemples d’huiles essentielles possédant ces propriétés

Principales indications

antibactériennes,

antifongiques

- cannelle *

- origan compact *

- tea tree

- clou de girofle *

- thym *

- palma rosa

- ajowan

- laurier noble

Affections cutanées d’origine bactérienne ou

fongique.

Affections respiratoires d’origine bactérienne.

Pourriture des fourchettes.

antiparasitaires

- ajowan

- cannelle *

- thym à thymol *

- clou de girofle *

- tea tree

- origan compact *

- cèdre de l’Atlas

- camomille noble

Affections cutanées d’origine parasitaire.

Parasites intestinaux.

antiseptiques

- la plupart des essences de citrus ( citron, mandarine, pamplemousse.....)

- eucalyptus globuleux

- eucalyptus radié

Désinfection.

Par diffusion atmosphérique :

assainissement de l’air.

antivirales

- ravintsara

- niaouli

Affections respiratoires d’origine virale.

 

 

 

- eucalyptus radié

- tea tree

- origan compact *

  • laurier noble

     

Stimulation du système immunitaire.

Affections cutanées d’origine virale.

antitussives

 

- eucalyptus radié

- cyprès de Provence (cupressus sempervirens)

  • inule odorante (inula graveolens)

     

Toux. Certaines huiles essentielles sont

indiquées pour les toux sèches, d’autres

pour les toux grasses.

expectorantes,

mucolytiques

 

- eucalyptus radié

- eucalyptus globuleux

- ravintsara

- niaouli

- romarin à cinéole (rosmarinus officinalis CT cinéole)

  • inule odorante

 

 

Affections respiratoires avec encombrement

muqueux.

Toux grasses.

Anti-inflammatoires

 

- hélichryse

- gaulthérie

- eucalyptus citronné

- lavandin super

  • litsée citronnée

     

 

Affections de l’appareil locomoteur d’origine

inflammatoire (tendinites, myosites, molettes,

ostéites, etc.)

Inflammations cutanées.

Coups, traumatismes.

antispasmodiques

 

- basilic *

- estragon *

- lavande vraie *

- lavandin super

- gaulthérie

  • hélichryse

     

 

Crampes et contractures musculaires.

Récupération après l’effort.

Toux sèches, spasmodiques.

Spasmes gastriques ou intestinaux.

Antiallergiques

 

- estragon *

- camomille noble

Traitement antiallergique de terrain.

Allergies respiratoires.

Allergies cutanées.

antalgiques

 

- lavande aspic (lavandula spica)

- lavande vraie, lavandin super

- laurier noble

- basilic

- gaulthérie

- eucalyptus citronné

  • menthe poivrée (mentha piperita)*

  • camomille noble

 

 

Douleurs musculaires ou articulaires.

Récupération après l’effort.

Coups, traumatismes.

Cicatrisantes

 

- lavande aspic, lavande vraie, lavandin super

- hélichryse

- ciste ladanifère

  • myrrhe

 

 

Brûlures, petites plaies, crevasses.

Inflammations et irritations cutanées.

Anti-hématomes

 

  • hélichryse

  • laurier noble

 

Coups, traumatismes.

décongestionnantes

veineuses et

lymphatiques, activatrices

et drainantes circulatoires

 

- lentisque pistachier

- cyprès de Provence

- genévrier de Virginie

- cèdre de l’Atlas

  • niaouli

     

 

Engorgements au niveau des membres.

calmantes, relaxantes,

apaisantes

 

- camomille noble

- marjolaine des jardins

- petit grain bigarade

- ylang-ylang ylang

- mandarine *

- lavande vraie

- basilic *

Stress, nervosité, anxiété, irritabilité

 

 

Parmi les nombreuses autres propriétés des huiles essentielles, citons également leurs propriétés insectifuges,

antiprurigineuses, antipelliculaires, drainantes (notamment pour le drainage du foie et des reins), digestives (aide

à la digestion, facilitation du transit intestinal, réduction des gaz intestinaux, stimulation du foie), toniques ou

dynamisantes.

Les huiles essentielles agissent également sur le psychisme par le biais de l’olfaction. Certaines d’entre elles

seront par exemple une aide utile pour les chevaux peureux, anxieux ou irritables, pour calmer les ardeurs d’un

étalon, réguler les chaleurs d’une jument ou encore faciliter le sevrage d’un poulain. D’autres pourront participer à

l’amélioration de certains troubles du comportement comme les tics

 

En conclusion, si il apparaît clairement que les huiles essentielles peuvent trouver de nombreuses applications

pour améliorer la santé et le bien-être des chevaux, il convient d’insister une nouvelle fois sur le caractère

extrêmement puissant de ces substances, qui bien que 100% naturelles peuvent potentiellement être

dangereuses si elles sont utilisées à mauvais escient et sans connaissances précises.possible d’utiliser sans danger certaines huiles essentielles pour remédier Si il est parfaitement aux petits maux quotidiens des

chevaux, toute volonté de traiter une pathologie plus lourde nécessitera l’intervention d’un spécialiste de l’aromathérapie en association avec un vétérinaire. Les huiles essentielles n’en restent pas moins un formidable outil de prévention et de stimulation des facultés d’autoguérison de l’organisme.

 


Argile :Il peut être utiliser sur tout les maux, et plaie, a appliquez en "masque", laisser secher et rincer. L'argile a des vertus antiseptique, et un pouvoir absorbant. (l'argile associé au miel, est encore plus efficace).

Armoise: Efficace pour ouvrir l'appétit des chevaux.

Ail :Est un bon reméde contre les infections,il lutte contre les parasite interne/externe, mais il peut être aussi utilisé pour une meilleure circulation sanguine, pour des probléme respiratoire,pour la digestion, la fertilité, il lutte contre la fourbure, c'est aussi un médicament indiqué contre la gale, il est aussi un répulsif anti-mouche.
Pour un cheval de taille moyenne, il faut ajouter environ 2 gousse d'ail épluché a sa ration quotidienne. L'ail peut aussi se trouver sous forme de poudre. mais attention : il ne faut surtout pas en donner au poulain!

Agrimoine :est un trés bon vasoconstricteur,elle est aussi cictrisante et anti-inflammatoire.

Algues:Elle est riche en vitamine et minéraux, lutte contre la fatigue, améliore la production de lait, la pousse de la corne, l'état de la robe, ainsi que la digestion.

Arnica :Indiquée pour les raideurs articulaire, les douleurs et blessures. (usage externe).

Aubépine :Atringent (qui as la propriété de resserer), augmente la sécrétion de l'urine, laxatif, lutte contre la fourbure, elle a une haute teneur en vitamine C et en biotine.

Bardane :Elle est utilisé pour les problémes respiratoire et cardiaque, ainsi que pour les teigne. Plante du bords des routes, a grande feuille, avec des fleurs pourpre, dont on exploite la racine, elle prévient la fourbure, augmente la sécrétion d'urine, plante dépurative, réequilibrante, et purifie le systéme lymphatique.

Bicarbonate de soude :A donner 2 bouteilles de bicarbonate mélanger avec de l'eau
au cheval ayant été empoisonné avec par ex: de l'engrais, insecticide,..

Le camphre :c'est un exellent stimulant pour les os, préciaux dans les cas ou le cheval respire difficilement. Il faut privilégier les feuilles fraîche. sinon ajoutez 20 a 30g de camphre dans la ration du cheval.

La cousoude :Plante aux grandes tiges velus, on la trouve essentielement dans les fossé humide,ainsi que certaines prairie. Il faut préférez les fleurs pourpre. Il ne faut jamais donner trop longtemps des racines de cousoude a un cheval! Elle est indiquée pour guérire les tendons irrité, l'arthrite, et le blessures osseuse (foulure, fracture,..).Existe aussi en pommade pour les blessure superficielle.

Camomille :Calme les chevaux nerveux, relaxante, anti-douleurs, antiseptique.

Chicorée :Utilisé pour la digestion, pour des probléme d'appétit, et du foie, elle redonne de la force, de l'energie.

L'eucalyptus : Décongestionne les naseaux de chevaux enruhmé, calme les chevaux nerveux.

L'Echinacea : Exellent reméde contre les infections, et plus douce que l'ail, (déconseillé au poulain).

Eleuthérocoque : Stimulant énergétique, améliore ses capacité de récupération aprés l'effort. Tonifie le système immunitaire, lors d'état infectieux.

L'Equinacée : Fortifie le systéme immunitaire.

Eglantine :préserve les articulations, ouvre l'appétit des chevaux.

Fenouil : permet d'expulser par la bouche, des mucosité des bronches et des poumons. Augmente la sécértion d'urine, Sert aussi contre les spasmes. 

Fenugrec (graines de fenugrec) : Ses graines sont employé en compresse humide ou bouillie épaisse que l'on applique sur une partie du cheval.Ils contiennent beaucoup de vitamines et sont riches en calcuim. Elles s'améliore l'état général du cheval, et acroissent son apétit. 20 à 30g de grains par jours. Associé avec l'ail, ces 2 plantes sont trés efficace ! 

Fleurs de Bach : Elle contiennent une essence qui contribu a réduire le stress et l'irritabilité. (plusieurs sorte de fleurs de bach existent, aller voir le site : www.fleurs de bach.fr).

Fleurs d'oranger : Trés réputer pour ses vertus relaxante, il faut l'ajouter a l'eau et bien mélanger. 

Fleurs de pissenlit : Ceuillez les en fleurs jaunes au printemps, et faites les sécher (sur du papier sulfurisé), pour l'hiver, elles ont un bienfait énorme sur le foie, en balade, laissez vos chevaux les mangez.

Framboisier : Aide a la gestation et à la mise bas, augmente la fertilité.

Ginseng : Tonifiant exeptionnel, accroît la capacité d'absorption de l'oxygène dans l'organisme. Cette propriété contribue à assurer un bon rythme respiratoire au repos, comme au travail. Renforce le systéme immunitaire.

Gui : Calmant, anti-hémoragique.

Granule de luzerne : Riche en calcium, elle aide a le fixer,ainsi qu'en azote, bénéfiques pour les reins. 

Harpagophitum : Vraiment très efficace pour les cas d'arthrose, que ce soit chez les vieux chevaux comme chez les jeunes.

Hêtre et houx : Elles contiennent une essence qui sert a réduire l'irritabilité et le stress.

Houblon sécher : Cette plante grimpante est trés réputé pour ses vertus apaisante, et peut réussir la ou la valériane, la lavande, la camomille on échoué.

Houx plus fleurs de bach : Cheval qui tremble, trop impatient, .. aide le cheval a retrouvé son calme ou a vaincre ses peurs.

Huile de neem : arbre medecin d'inde, puissant répulsif contre les mouches (ne peux être trouver que sur internet).

Lavande : anti-septique, lutte contre les spasme,calme les chevaux trop nerveux, ou tendu, aide les chevaux qui relévent de maladie ou de mauvais traitement.

Lierre : Indiquée contre les abcès et les ulcéres, ainsi que pour la toux, il aide a l'expulsion.

Marguerite : Indiquée pour les problémes cutanée(infections, inflammatoire et contusions).

Marron d'inde : Utilisé pour les maladie respirétoire et les allergie

Menthe : relaxe les chevaux, utilisé pour les maladie respiratoires, la perte d'appétit, et l'aérophagie. Si votre cheval est difficile pour sa nourriture, ajoutez 15 a 20 g de feuilles de menthe séchée a sa nourriture.

Miel : Il est exellent,et peut-être utilisé pour a peu prés tout, l'ajoutez a n'importe quel remède est une bonne idée, mais il ne faut pas non plus en abuser. Appliquer sur la blessure, il aide a la cicartisation de celle-ci.

Mimulus (pas certaine de l'orthographe): Aide les chevaux a se remettre d'un choc, surtout aprés avoir suffoqué.

Ortie : rammassez la et faite la sécher en liasse, et incluez la a la ration de l'hiver, elles contient beaucoup de vitamines, de fer, elle est fortifiante, astringente. Elle sert aussi aux problémes d'appétit, au gains de poids, tonicité cardiaque et circulaire, pour les problémes pulmonaire, et rhumatisme. Elle lutte contre les parasites et la fourbure.

Osier : Combat la douleur,(c'est un antalgique naturel).

Pépins de Pamplemousse : Bactéricide et désinfectant, stimule le système immunitaire. Aide l'organisme a lutter contre les virus.

Persil : Augmente la sécértion d'urine, aide à la digestion, lutte contre les rhumatisme.

Plantain : Pour les soins oculaire (de l'oeil), mais aussi traitement des ulcéres et des problémes cutanée, il lutte contre les diarrhées.

Poudre grise à base de noisette : l'odeur à l'art de calmer les chevaux effrayée.

Poudre d'ail mélanger à celle d'églantine : ouvre l'appétit des chevaux, améliore la digestion, et apportent des vitamines.

Préparation à base d'ail et d'orties : Mélanger a sa nourriture, cela le fortifie.

Réglisse : Indiquée pour les problémes respiratoires.

Saureau : lutte contre les insecte, les problémes respiratoire et digestif, et les inflamations de l'utérus.

Le sauge : contribue à faire tomber la fiévre, il faut mélanger une petite quantité de sauge à la ration du cheval.

Shiitaké : champignons du Japon, riche en vitamine B2 et PP. A des vertus immunostimulante. (il stimule le système immunitaire).

Thym : antiseptique, anti-inflamatoire, astringent, et utilisé pour les maladie respiratoires. Il assainit, désinfecte, stimule et portége la fibre bronchique. Assèche et facilite l'explusion des mucosité et des glaire obstruant bronchiole et alvéole.

Trèfle blanc: indiquée pour les problémes sanguins et cutannés, antiseptique.

Trèfle rouge : calmant, adoucit la gorge, et améliore l'état du poil.

Valériane : anti-dépresseur,calme les chevaux nerveux ou tendu, sans altérer leur preformance. Mettez 15 à 30 gramme par jour de valériane en poudre dans sa ration .
A noté : Valriane associez avec la Scutellaire, permet de détendre les chevaux sans les endormire. Précieux surtout avant une compéte.

Vinaigre de cidre : Indiqué pour les douleurs musculaire et articulaire, tel que l'arthride, arthrose, tendinite, il dissout le mauvais calcaire des articulations, il aide a mieux se déplacer.
Il améliore l'état du poil, aide a reprendre du poids, améliore la qualité de la corne, lutte contre les pellicule.
Exellent pour tout les probléme de peau, et les probléme allergique : (eczéma, urticaire,..)
Aide a l'élimination des toxines dans le cas d'intoxications, ou d'engorgement du foie, (a utiliser pour tout les porbléme de foie).
Il est riche en vitamine, oligo-éléments et minéraux, il régule le PH du sang, réequilibre la flore intestinale en "absorbant" le surplus d'acidité, apaise les ulcére, et les douleurs digestive.
C'est aussi un anti-stress et calmant.
Mettez 25 mL par jour dans sa ration toute l'année.

Maintenant le Miel :

Le miel est riches en sels minéraux, (fer,phosphore,calcium,..) et en vitamine.
Il favorise la croissance, et fortifie le squelette. Il permet de lutter contre les affections respiratoire, il favorise la digestion (que ce soit en cas de diarrhée, ou de constipations), ainsi que la rétention du calcium et du magnésium.
Il est connu depuis des siècle, pour ses vertus cicatrisante, désinfectante. A appliquer sur les coupure, brûlure.
C'est un médicament naturel.

Dosage : une bonne cuillère a soupe dans sa ration chaque jour, ou dans un mash.
Sur une blessure : nettoyer avec de l'eau, pour enlever la saleté. Appliquez ensuite le miel seul directement sur la blessure.


Miel d'Acacia : calmant, reconstituant,régulateur intestinale, (lutte contre les coliques).

Miel d'Aubépine : lutte contre les spasmes, il est utiliser contre les courbature, les douleurs musculaire, en cas de crispations, et pour les maladie du coeur.

Miel de Bourdaine : laxatif, ouvre l'appétit et facilite la digestion.

Miel de Bruyère : conseillé en cas d'anémie, de fatigue, de convalescence, ou d'affection des voies urinaire. C'est un stimulant des fonction organique. Il favorise la sécértion d'urine, lutte contre les rumathisme. Il est riche en sels minéraux.

Miel de Colza : utiliser pour les maladie du coeur, et pour les probléme respiratoire.

Miel de Châtaigner : accélère la circulation sanguine.

Miel d'Eucalyptus : Antiseptique général des voies respiratoire, et des voies urinaire, en cas de maladie pulmonaire, bronchites.

Miel de Fleurs : idéal contre la grippe, miel général.

Miel de Garrigue : tonique et fortifiant.

Miel de Gâtinais : trés nourrissant, revitalisant.

Miel de Lavande : Antiseptique, idéal pour les maux de gorge et état grippaux, ainsi que pour les toux convulsive, l'asthme, et les emphysémateux. Soulage les ulcère.

Miel de Lierre : en cas de névralgie, et de maux de tête.

Miel de Mélilot : Stimule le système immunitaire, lutte contre toute sorte de maladie, (sinusite, rhinite, angine,..)

Miel de Moutarde : utiliser pour les maladie du coeur, et de l'appareil respiratoire.

Miel d'Oranger : sédatif nerveux, lutte contre les spasme, conseillé en cas de problème de sommeil.

Miel de Romarin : augmente la sécrétion biliaire, stimule le foie, conseillé en cas d'asthme, d'emphysème, de difficulté digestive. Soulage les ulcère.

Miel de Sapin des Vosges : utiliser en cas de maladie pulmonaire, bronchite.

Miel de thym : antiseptique général, stimulant des fonction digestive, tonifiant. Facilite le tonus musculaire, et la récupération physique.

Miel de Tilleul : sédatif nerveux (favorise le sommeil), calme les migraine, douleurs gastriques, spasmes. Utiliser aussi pour les maladie du coeur, et de l'appareil circulatoire. 
(A se qui paraitrait, c'est ce qu'un petit papy m'a dit, ce miel éviterait, ou plutôt limiterait les riques de carie.)

 

L'aromathérapie Attention!!!

As savoir

Quelques notions de l'aromathérapie :
L'aromathérapie est une thérapie par les huiles essentielles qui s'adresse aux gens comme aux animaux.
A vrai dire je m'en sert plus sur les chevaux que sur moi..
Cette méthode peut-être utilisé sur les chevaux pour de multiples usages, par exemple pour lutter contre la tristesse, la nervosité,.. Elle aide le cheval physiquement et surtout psycologiquement.
Associé a des méthode "traditionelles" de medecine vétérinaire, l'aromathérapie permet d'accélérer le traitement de certains problémes physique, comme les tendinites.
Pour obtenir de bon résultat il est nécessaire d'acheter des des huiles essentielles de bonnes qualité!
Moi j'utilise ces huiles : puressentielles,laroma, mais surtout les huiles essentielle du "Docteur Valnet". Des huile essentielle bio sont obligatoire. Il ne faut en aucun cas qu'elles soit mélangé avec des produits de synthèse !

Attention:
Ces huiles sont trés forte, Avant de les utiliser sur un cheval, il faut les diluez dans de l'huiles de base, (ex: huile végétal d'amande douce = ma préférer, ou huile-V de germe de blé, d'avocat, jojoba,sésame,noisette..). Faute de quoi, elles risques de brûles ou d'iiriter la peau de votre cheval.

La technique :
Mettre 10mL d'huile d'amande douce (ou autre) dans un flacon sombre de préférence, puis y verser huit gouttes d'huile essentielles. Vous pouvez ajoutez 4 à 5 types d'huiles essentielles dans un bouteilles d'huile de base. Mais il ne faut surout pas dépasser 8 gouttes! Mise a part si votre armomathérapeute vous le prescrit.

Quelles huiles choisir?
Pour choisir les huiles-E approprié aux cas de votre cheval, consultez un livre d'aromathérapie, afin d'établir une premiére sélection. Savez vous que votre cheval peut vous faire comprendre quelle huiles est associé a son cas?
Pour cela, une fois vos huiles choisis, ouvrer les, présentez les une a une a votre cheval, à hauteur de ces naseaux. tenez les bien afin que le cheval ne les attrappe pas! Si il semble attirer par le flacon, ou séduit par l'odeur, (ex: en essayant de l'attrapper), c'est que cette huile lui convient bien.
Sinon il détournera sa tête et l'ignorera.

Attention : 
Il ne faut pas approchez trop prés les flacon des naseaux, car le contacte des huiles essentielles avec la peau du cheval risquerait de l'irriter! Si il y a un contacte, rincer le abondamment à l'eau en frottant à l'endroit toucher.

Comment les appliquer?
Une fois vos huiles choisis, diluez les dans l'huile de base de votre choix.
La meilleur façon de les appliquez consisite a masser le cheval sur la tête et sous la bouche.
Si votre cheval à des douleurs muculaire, (par ex: aux canons), massez le directement a l'endroit de la douleur.
Appliquez les huiles 2 fois par jour,sinon une fois pourra suffire. C'est un traitement long, les premières amélioration apparaissent aux bout de 4 ou 5 jours. Si vous n'en avez pas, essayer avec une autre huiles.
Quelqes petite chose a savoir avant d'utiliser les huiles:
1) ne jamais utiliser l'aromathérapie sur des jument pleine!
2) Par trés beau temps, ne pas appliquez l'huiles sur la tête, votre cheval risque d'attraper un coup de soleil.
3)Si les symptômes empirent, ou si votre cheval a une allergie (ex: bouton, se gratte,..) arrétez l'aplication, et appleler votre vétérinaire! (sa ne met jamais arriver..mais ne jamais dire jamais!)
4)Certaines huiles contiennent des substances considéré comme dopante, si votre cheval ingére cette huile en se léchant, il risque d'être contrôlé non-négatif. Donc éviter d'utiliser les huiles au moins 1 semaines avant une cométition.
Ou appliquez les a un endroit ou le cheval ne peut pas se lécher, comme sous le cou, la tête, ou sous les ganache.
5) Faite trés attention avec lui huiles essentielle d'agrume, n'en donnez jamais a votre cheval par voir orale. Il y a un énorme risque de photosensibilisation. Ou alors ne l'exposer pas au soleil pendant le traitement, et attendez une semaine aprés celui-ci avant de le remettre dehors.
Demandez conseil a votre pharmacien, ou a un spécialiste de l'aromathérapie.

 

Enseigner au cheval a dominer sa peur

Par nature, le cheval est un animal peureux. Cette marque essentielle de son comportement est responsable de bien des conflits avec son cavalier. Je vous préconise quelques exercices pour aider le cheval à dominer sa peur.

Il est aberrant de demander à un cheval de ne pas avoir peur. C'est comme si vous me demandiez de déambuler à deux heures du matin dans un quartier mal famé sans angoisse. En revanche, ce qui est possible, c'est de lui apprendre à maîtriser sa peur. "Comment?" Au cours d'une (ou plusieurs) séances de travail en liberté. Séances que l'on peut d'ailleurs effectuer avec un tout jeune poulain.

Lui apprendre à faire face

Le premier réflexe d'un cheval qui a peur est de fuir dans le sens opposé. Il faut d'abord lui apprendre à faire face à l'objet de sa peur, au lieu de paniquer. L'instrument de travail privilégié est le "round pen" - petit corral circulaire. Pour tous les nouveaux maîtres, le round pen est préférable au manège carré car il n'y a pas de coins où le cheval puisse se retrancher. Avant de commencer à travailler, vous devez d'abord vous assurer que votre cheval a assimilé le fait de se tourner vers vous à la demande, de vous faire face et de tourner à droite ou à gauche, également à la demande.

 

 

1. Laissez le cheval en liberté, sans licol.

 

2. Commencez le "jeu" : votre rôle consiste à lui faire peur, avec ou sans accessoires. Il doit rester sur place et vous faire face... La seule règle absolue est de ne jamais frapper le cheval. Tout au plus avez-vous le droit de lancer une longe dans sa direction et de lui toucher ainsi légèrement le dos. Cela doit suffire à le faire tourner autour du round pen. Au début, ne faites qu'un tout petit peu peur à votre cheval : utilisez une chose aussi peu menaçante que possible pour qu'il puisse aisément dominer sa peur. Si vous commencez par brandir et agiter devant ses yeux une bâche en plastique de deux mètres sur deux, vous risquez de le voir foncer dans la clôture ! N'hésitez pas à commencer avec un simple papier de chewing-gum crissant ou à effectuer un bruit insolite avec vos lèvres. Tout en faisant ce bruit, demandez à votre cheval de se tourner vers vous et de vous faire face. Si votre cheval reste immobile alors qu'il a visiblement peur du bruit, allez vers lui et caressez-le. Puis continuez à faire le bruit, et félicitez-le tant qu'il fait l'effort de rester calme. S'il fait quelques pas, ce qui indique qu'il pense à fuir, puis s'immobilise de son propre chef, félicitez-le à nouveau : il commence à contrôler sa peur. En revanche, s'il s'écarte de vous, faites-le galoper dans le round pen pendant deux à trois minutes pour lui donner le temps de réfléchir. Au fur et à mesure que le cheval galope autour du round pen, il va se fatiguer et commencer à se dire qu'il y a peut-être mieux à faire...

 

  3. Dès qu'il s'arrête de lui-même, cessez de lui faire peur. Il comprendra bientôt que lorsqu'il s'arrête de galoper, le bruit effrayant s'interrompt. C'est la fameuse formule, propre à tous les nouveaux maîtres, qui consiste à "rendre désagréable au cheval ce qu'il ne doit pas faire et lui rendre agréable ce qu'il doit faire". Les chevaux sont extrêmement sensibles à la notion de cause à effet. Continuez à jouer à ce jeu en ajoutant à chaque fois un peu plus de pression : par exemple, vous pouvez passer progressivement du petit bruit des lèvres à un fort grognement, puis à un cri, puis à un cri combiné avec de grands battements de bras. Une fois que le cheval aura compris qu'il n'y a là, finalement, rien de menaçant, il supportera presque n'importe quoi et restera tranquille, au lieu de partir au galop.

 

Progresser lentement

Au cours de ces séances, qu'il est très profitable de répéter régulièrement, laissez courir votre imagination : faites-lui peur avec toutes sortes d'objets (un parapluie ouvert, un ballon, un imperméable...). Quoi que vous utilisiez pour créer un sentiment de peur, une fois que le cheval ne manifeste plus de signes de crainte, passez à un autre moyen d'intimidation. Mais progressez toujours par paliers. "Il est impossible d'exposer un cheval à toutes les situations effrayantes qu'il pourrait rancontrer, mais il est possible de lui apprendre à affronter ses craintes et à contrôler sa peur. Ainsi, nous nous retrouverons avec un cheval plus calme et plus fiable à monter, notamment en extérieur. D'une façon générale, quand vous montez votre cheval et qu'un bruit l'effraie, tournez-le en direction de ce bruit. Evitez l'erreur qui consiste à détourner l'attention de votre monture pour l'empêcher de voir l'objet qui l'effraie (un vélo, un tracteur, une tondeuse à gazon,etc...) Au contraire, il faut absolument que votre cheval voie l'objet de sa peur. "Le vieux principe selon lequel les choses imaginées sont toujours pires que celles que l'on voit pour de bon est aussi valable pour les chevaux que pour les hommes !





Et si ça ne marche pas ?

D'une façon générale, ceux qui pratiquent régulièrement, avec leur propre cheval, les méthodes des "nouveaux maîtres" ont le plaisir d'obtenir rapidement de bons résultats. Mais le cheptel français ou belge de chevaux de sang n'est pas toujours aussi facile que les chevaux américains sélectionnés pour la qualité et stabilité de leur mental. Lorsqu'ils font un stage chez nous, les nouveaux maîtres ne se privent pas de démonstrations édifiantes avec des chevaux difficiles, fournis par des propriétaires désemparés... Mais il faut être conscient de ses propres limites et surtout ne pas se décourager. Si vous n'arrivez pas à obtenir quelque chose de votre cheval, alors que vous suivez à la lettre les exercices pratiques, ne culpabilisez pas ! Faites preuve de patience, sachant que vous aurez besoin de plus de temps qu'un professionnel. En cas de fiasco total, n'hésitez pas à interrompre la séance et à la reprendre un autre jour. Le simple fait de pratiquer ces méthodes d'approche en liberté et de communication est bénéfique de toute façon pour vous comme pour votre cheval. Au fil des séances, vous constaterez que votre relation avec votre monture s'est enrichie!!!

Chez les chevaux sauvages, la peur est essentiellement provoquée par la survenue d'un prédateur. Dès qu'un des individus du groupe l'aperçoit, l'alarme est donnée. Ils se mettent alors à fuir, en veillant à reste groupés. Chez les chevaux domestiques, la peur est principalement liée à l'inconnu. A l'abri des prédateurs, même si leur vie n'est pas réellement menacée, ils restent instinctivement vigilants à l'égard de ce qui les entoure et prêts à fuir au moindre danger. Contrairement aux équidés sauvages qui vivent au sein d'un domaine vital et d'un groupe social stable, les chevaux domestiques sont souvent séparés de leurs congénères, ne peuvent pas fuir et sont constamment confrontés au changement et à la nouveauté. Privés de leur principal moyen de défense naturel, ils se sentent alors menacés et peuvent faire preuve de réactions de peur excessives. C'est le cas, notamment, face à tout ce qui ne leur est pas familier. Ainsi, lorsque des chevaux sortent après longue période sans contact avec le monde extérieur, ils se montrent très réactifs et peuvent être effrayés par le seul bruit du vent dans un arbre. Ces réactions sont cependant très variables en fonction des circonstances, du tempérament de l'individu et de son expérience.

Bien des raisons d'être craintif.

Les raisons qui induisent le phénomène de peur sont multiples. Il peut d'abord avoir tendance à se manifester plus souvent chez un animal au tempérament propice à l'émotivité, le caractère étant d'origine partiellement génétique. Des études ont montré que la réaction du cheval face à des objets nouveaux varie en fonction de sa race et de son origine paternelle. La génétique (l'inné) a donc une influence certaine sur les réactions de peur des équidés, influence modulée cependant par les facteurs environnementaux (l'acquis). Le déroulement des premières années de la vie de l'individu joue également un rôle primordial dans le caractère craintif de l'animal adulte. Il induit même dans certains cas des troubles du comportement. Par exemple, un poulain privé dès la naissance de contacts avec sa mère ou tout autre congénère se montre fréquemment asocial à l'âge adulte. Le jour où il est mis au pré avec d'autres chevaux, ne les reconnaissant pas comme des membres de son espèce, il les considère comme des êtres totalement inconnus donc potentiellement dangereux. Incapable de communiquer, il peut alors fuir, s'isoler ou même se montrer agressif envers ses semblables. L'intégration, dans ce cas, peut être longue et difficile. De la même façon, un poulain qui n'a pas été très tôt familiarisé à la présence amicale de l'homme, à ses manipulations et ses caresses, le considèrera ultérieurement comme un être effrayant. A son approche, il se montrera méfiant, voire irrespecteux. Enfin, un poulain élevé dans un environnement appauvri, dépourvu d'objets et de bruits auxquels il sera ultérieurement confronté, se révélera par la suite particulièrement craintif. Comme cela a été démontré chez d'autres espèces animales (le chien notamment), le jeune cheval développe probablement lui aussi une peur de la nouveauté au-delà d'une certaine période dite "sensible", durant laquelle il s'attache à ses parents et se familiarise aux caractéristiques de son environnement.

Il n'oublie jamais...

Si les premiers mois de la vie sont incontestablement déterminant dans le développement d'un caractère peureux, une expérience traumatisante vécue à n'importe quel âge est également lourde de conséquences : le cheval s'en souvient toute sa vie et reproduit les mêmes réactions de peur lorsqu'une situation similaire se présente. S'il a reçu par exemple une punition injuste lors d'une séance de travail, il cherchera plus tard à se dérober dans les mêmes circonstances. D'où l'importance pour le cavalier de se remettre en question avant d'accuser le cheval,et d'utiliser la punition avec modération. De même, lors d'une balade, si le passage d'un cours d'eau ou d'un pont effraie sa monture, le cavalier devra aborder le problème avec beaucoup de délicatesse. Quelle que soit la discipline à laquelle est destiné le cheval, ses réactions de peur ne pourront être atténuées que par l'acquisition d'expériences positives. Cette prédisposition à l'inquiétude, acquise ou innée, n'est pourtant pas une fatalité. Dans la plupart des cas il existe une solution appropriée, qui s'avérera d'autant plus efficace que l'intervention sera précoce. Ainsi, le fait de choisir son poulain et de l'élever soi-même augmente les chances d'obtenir un cheval hardi en agissant de façon préventive. Il s'agit surtout de faire très attention aux conditions dans lesquelles le nouveau-né va grandir, en commençant par ne pas le séparer de sa mère pendant ses premières semaines. Très rapidement mais sans interférer dans la relation mère-poulain, il faut ensuite l'habituer, sans jamais le brusquer, au contact avec ses congénères, d'autres animaux et des êtres humains. Mais il faut également le familiariser avec les lieux, les bruits, les objets qui l'entourent... L'habituation doit se faire en douceur et au rythme du poulain. Par exemple, pour l'approcher et le caresser, il vaut mieux commencer par entretenir une bonne relation avec la mère et attendre que le jeune cheval recherche le contact avec l'homme de sa propre initiative. La progressivité est aussi de mise dans les manipulations comme la pose du licol ou le pansage. Il faut également sensibiliser le poulain au matériel de dressage, par exemple en posant les objets au centre du manège pour laisser le jeune cheval les découvrir par lui-même. Il sera aussi peu à peu mis en confiance et apprendra en douceur les différents aspects de sa future existence en observant ses aînés. Il ne faut pas hésiter, par exemple, à emmener le jeune cheval avec des congénères aguerris découvrir l'ambiance des concours... l'emmener faire de petites promenades et vous montant sa mère...

Lui redonner confiance.

Si l'acquisition du cheval se fait à un âge plus tardif et que les réactions de peur sont déjà trop systématiques, il faut d'abord essayer d'en déterminer les causes: conditions d'élevage, expérience traumatisante... Si le cheval non sociabilisé a peur de ses congénères ou même de l'humain, il s'agit d'instaurer la confiance. Une prise de contact courte, répétée, encouragée et en douceur permettra de lui faire comprendre qu'il n'y a aucun danger. Si la peur provient d'une expérience passée traumatisante (par ex: la traversée d'un gué), plusieurs stratégies peuvent être adoptées, voire cumulées. Le cavalier doit avant tout chercher à mobiliser l'attention de son cheval pour la détourner de ce qui l'effraie, en jouant sur la relation de confiance entre le cheval et son cavalier. Un renforcement positif stimulant peut également s'avérer efficace. La récompense doit être donnée dès que le cheval commence à réagir de façon positive. Les encouragements ne doivent pas cesser avant que le cheval n'ait complètement surmonté sa peur. Il est possible aussi de se faire aider par d'autres chevaux, qui donneront l'exemple à leur congénère peureux en passant l'obstacle avec confiance. Ce phénomène dit "de facilitation sociale" est très couramment utilisé entre chevaux au cours de divers apprentissages. L'exemple joue donc un rôle privilégié parmi la douceur, la progressivité, la confiance et la récompense .

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Commentaires
P
Bonjour,<br /> <br /> Très intéressant. J'envisage de faire un Sirop pour ma jument qui tousse avec du Thym frais ( donc 240g pour faire 1L500 de sirop ) et rajouter quelques huiles essentielles ( je pensais à Eucalyptus, fenouil et lavande vrai ) que je pense dilué dans qlq cuillère de miel de thym et eucalyptus. Quel quantité dHE dois-je mettre au maximum ? Je compte en donner 2 c à soupe une fois par jour. Qu'en pensez vous ? <br /> <br /> Merci d'avance.
Le soin des chevaux par les plantes
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